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U4 Jules de Carole Trebor

Dernière mise à jour : 19 mars 2024

Titre : U4 Jules

Autrice : Carole Trebor

Publié chez syros jeunesse 7/10



« - Mec, toi, tu seras le plaqueur.

- Euh… le plaqueur ? Je suis déjà Spider Snake le nettoyeur »

- page 66



Le récit se déroule dans un monde apocalyptique. On y voit des jeunes de 15 à 18 ans essayant de survivre dans un monde devenu hostile. Délaisser par l’armée, qui sont les seuls adultes à avoir survécu au virus qui se repend comme une trainée de poudre, ils vont tout faire pour se préserver du virus et continuer à avancer chaque jour. Dans ce livre on va notamment suivre Jules, qui avant le virus, jouait sans cesse à un jeu en ligne. Ce jeu qui deviendra par la suite l’une des seules choses à laquelle il se raccrochera. Son jeu et Alicia, la seule fillette qui a survécu.

On découvre alors un quotidien rythmé par l’insécurité, par la violence et le pillage afin que ces jeunes puissent se nourrir. D’autant plus que l’armé impose des règles. Des règles mortelles pour quiconque ne s’y conforme pas. Mais même en voulant les respecter, leurs survit n’est pas forcément assuré. Alors lorsque Jules rejoint un groupe de jeunes, sa vie devient un peut plus tranquille. Il trouve un cadre, un rôle à jouer.


J’ai bien aimé découvrir ce livre. Mais il ne fait pas partie de mes préférences. Déjà parce qu’il ne fait pas parti de mon univers de lecture habituelle mais aussi parce qu’avant celui-ci j’avais déjà lu quelques années avant U4 Koridwen et Yannis. Je trouve que cela fait trop répétitif de tous les lire et je me suis donc un peut lassé. C’est tout de même un super livre ! L’écriture est fluide, lorsqu’on l’achète en broché, la taille d’écriture est très agréable. Pareille lorsqu’on le tient en main.



Résumé du livre :


Jules, Koridwen, Yannis, Stéphane ont entre 15 et 18 ans. Ils ont survécu au virus U4, qui a décimé 90% de la population mondiale. Ils ne se connaissent pas, mais ils sont en route vers le même rendez-vous. JE M'APPELLE JULES. Je vis à Paris. La ville que j'observe du haut de mon cinquième étage n'est plus la mienne. J'ai recueilli une petite fille, elle s'appelle Alicia, je ne sais pas quel âge elle a ni pourquoi elle a survécu. C'est pour elle que j'irai au rendez-vous. Parce qu'il nous reste peut être une dernière chance de sauver le monde.



 
 
 

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